La qualité de vie dans de la résidence du 4 allée de Bretagne et, a fortiori, des habitants du quartier de Grignon, s’est fortement dégradée, par la présence d’individus procédant à l’échange et à la vente de produits stupéfiants.

Face à cette situation qui n’est pas acceptable, j’ai agi avec les moyens qui sont ceux d’un maire : saisine du commissaire divisionnaire de L’Haÿ-les-Roses à chaque fois qu’un évènement m’était rapporté, courrier au directeur général de la Régie Immobilière de la Ville de Paris (RIVP), bailleur de cet ensemble d’immeubles, organisation de plusieurs réunions, à mon initiative, entre les responsables de la Police nationale et les riverains du quartier concernés pour chercher des solutions.

Cependant, la situation reste insupportable et c’est à l’État, seul garant de la sécurité des biens et des personnes, d’agir avec force pour éradiquer ce problème. J’ai ainsi saisi, il y a quelques mois, le ministre de l’Intérieur et viens d’adresser un courrier au préfet du Val-de-Marne.