À Thiais, pas d’Islam radical
Pour que la Communauté nationale puisse vivre dans la concorde et ne soit pas la victime d’exacerbations, chacun doit pouvoir exprimer des convictions, religieuses ou laïques, et les vivre sereinement sans fracturer l’indispensable exigence de cohésion nationale, surtout dans le contexte actuel.
Vous trouvez ci-après la lettre que j’ai adressée au président de l’association musulmane Al Fawz.