Cité de la gastronomie : écrire notre avenir commun
Mardi, j’ai assisté à la soirée de dévoilement du lauréat de la cité de la gastronomie Paris-Rungis au Pavillon Baltard, à Nogent-sur-Marne. De nombreux élus de Thiais étaient également présents à cette soirée : Dany Beucher, Pierre Ségura, Nicolas Tryzna, Alain Colbeau, Frédéric Dumont, Valérie Regard, Sylvie Duteil, Bernard Lafosse, Mounirou Daouda et Aziza Ziti, ainsi que des représentants du monde associatif.
C’est la société « Pitch Immo », marque du groupe Altarea, qui, aux côtés de plusieurs partenaires, aura en charge la construction et la gestion de ce nouveau quartier, véritable fabrique de la gastronomie de demain, un lieu innovant et vivant qui fera rayonner l’excellence des métiers de la gastronomie française. D’une surface de plus de 53 000 mètres carrés, comprenant notamment atelier de formation, espaces muséographiques et événementiels, l’ouverture de la Cité Internationale de la Gastronomie Paris-Rungis est prévue pour 2027.
La cité de la gastronomie sera la figure de proue du Marché d’Intérêt National de Rungis. C’est aussi un élément constitutif de la mise en place d’un vaste projet qui va permettre à notre territoire de connaître une mutation profonde. Cette transformation est en cours puisque, en 2024, la ligne 14 du métro va arriver à l’entrée du MIN de Rungis avec une station à Thiais et un terminus à l’aéroport d’Orly. La recomposition de la zone SENIA, projet partagé par les deux villes Thiais et Orly et soutenu par la Métropole du Grand Paris, deviendra, sur une vingtaine d’hectares, un véritable bassin de vie : une scène digitale consacrée à l’e-sport – une des plus grandes d’Europe – un parc d’un hectare et demi, des logements, des résidences étudiants, des bureaux, des commerces, restaurants et équipements scolaires occuperont ces espaces. Jusqu’au TGV, qui arrivera en 2030, dont la gare de départ jouxtera celle du métro de la ligne 14, à Thiais.
Nous sommes dans une marche en avant pour écrire notre avenir commun.